Il avait chevauché de longs jours durant, d'abors dans des chemons enneigés, puis sous la pluie, dans le vent, croisant parfois des pèlerins, des marchands, de nobles et leurs convois, malheureusment pas de brigand, il aurait pourtant bien aimé en attraper un ou deux, il aimait en amener en présent à ses hotes, une pendaison est toujours un spectacle attendrissant, elles devront se contenter du miel de Mende
Les auberges par bonheur, elles, n'avaient pas manquées, et c'est assez propre et en forme qu'il arriva en milieu de journée, se demandant s'il aurait l'occasion de rencontrer d'autres Languedociens ? Peut-être même celle qui faisait battre son coeur ?
Arrivée devant la tour, il mit pied à terre, non sans un certain plaisir, ce n'était que contraint qu'il se servait d'une carne pour se déplacer, préférant de loin marcher à pied, d'ailleurs n'état-ce point pour cela que le Très-Haut l'en avait affublé d'une paire ? bon c'est vrai il avait aussi créér les carnes, alors il fallait bien s'en servir.
Bonjorn Donaisèla ! Soi Quirin de Rieucros, de Mendés en Lengadòc, veni entà lo dual.