La salle d'Honneur

Discussion entamé, sourire assuré.

Alors que nos deux convives s'échangent paroles et sourires, le temps avancent et les nominations également.
Ninja qui venait à peine de comprendre que la nomination de la sénéchal ne correspondait pas a la coba mais a l'ordre des DB, aurai bien du mal à citer les deux nominé n'en ayant entendu qu'une seule.

Après tout, les hommes ne peuvent faire plusieurs choses à la fois, on dirait que cela est plus ou moins vérifié.

En tout cas, lui s'était présenté à la charmante dame qui venait de trouver obstacle à sa vue, à son tour elle se présente tout en portant attention à leur différence de taille.

Ninja en profite pour regarder également, ne sachant pas que c'était sa taille qui était la cause de cette rencontre inopinée.
Elle dit avoir l'impression de le connaitre... Moment de réflexion interne, l'a t-elle déjà vu ?

Point le temps de réfléchir que la charmante dame enchaine parole, sourire et réplique qui ne cesse d'amuser Ninja.
Son regard croise le sien et ne s'en détache point, portant attention à chacune de ses paroles tout en essayant de se rappeler ou il aurai pu la rencontrer.

Sourire ou rire viendront accompagné les siens, il prend à son tour la parole.

Je dois vous avouez quelque chose... On ne m'a jamais posé la question à savoir si j'habitais encore chez mes parents ou non finit il avec un grand sourire.

Cependant, pour honorer cette première fois, je me ferai un plaisir de vous répondre.

Un peu amusé de vouloir répondre à cette question, il continue toujours le sourire aux lèvres.

Mes parents vivent bien loin de ma demeure, je vis donc comme un grand homme seul.
Vous remarquerez que j'ai reprit la notion de taille que nous évoquions tout à l'heure.

Petite salutation de la tête à la dame pour ce clin d'œil, il continue.

Concernant cette originale rencontre, vous êtes toute excuser voir même remercier. Après tout vous m'offrez la chance de vous avoir en ma compagnie et pour cela je ne peux que vous dire merci.

C'est pourquoi dame Cyann, je vous prête mon bras avec plaisir. Il semblerai que l'on doit migrer vers une autre salle et cela me fera plaisir de vous faire la conversation.

Il tend alors son bras à la dame pour suivre les autres convives.
Durant les quelques pas il continue ou plutôt répond aux questions de cyann.

Vous me demandiez pourquoi donc ma venue en ces lieux.
Après lecture de l'affiche en Bourbonnais-Auvergne, je fus gentiment invité par l'une d'entre elle à venir partager ce moment.
Je connais avec plaisir quelques une d'entre elle, ça me fait plaisir d'assister à certain de leur événement et puis les revoir est toujours plaisant.
Et rien de bien curieux ne vous inquiétez point, après cela est dans la discussion. D'ailleurs, je suppose que vous connaissez nombreuse de ces charmantes dames pour assister également à cette nomination.
D'ailleurs... je dois vous avouer à nouveau quelque chose...

Il penche sa tête doucement vers la sienne et dit en chuchottant :

Je ne pensais pas que la nomination concernait exclusivement les Dames Blanches... Pensant que c'était une cérémonie de mon duché, j'ai bien sur aussi voulu y participer... dit il confus reprenant alors sa posture initial et zieutant un peu à droite à gauche afin de voir si certain tendrait l'oreille...

Quant à votre question la plus importante dame...
Voila bien longtemps que je n'ai pas assisté aux festivités de la chancellerie...
A mon humble avis cela vient d'une autre occasion beaucoup antérieur je pense.
Laquelle exactement je ne saurai vous le dire, j'ai participer à quelques mariage pour les joutes, ou encore plus loin dans le temps d'autre festivité où le BA organiser...
Ou alors lors de mes passages vers le Poitou ou le Languedoc...

Je m'excuse de cette impolitesse et du fait de ne pas pouvoir mieux vous aiguillez.

Son regard reste dans celui de la dame, montrant une petit confusion et un peu de gêne quant à ce qui se passait.
Il n'était pas très fort lorsqu'il fallait deviner sans indice, mais une fois sa mémoire stimuler il faisait des merveilles... Devant donc cette dame il était un peu gêné, cherchant ou exactement il avait pu la rencontrer, la voir, l'apercevoir...

La cérémonie était terminée mais les invités ne semblaient pas très pressés de rejoindre la salle du banquet. Alors Eudes intervint :

Messieurs, dames, il est tant de passer dans la pièce voisine pour la suite.

S’il avait eu un balai, la chose aurait été plus aisée, mais certainement moins convenable. L’échanson se contenta donc de s’adresser poliment aux invités récalcitrants qui bavardaient encore, quitte à les couper, pour les presser vers la sortie.

Le signal etait donné,un mouvement de masse commenca alors a se faire,et son regard se mit a balayer la piece a la recherche d'un attroupement attypiquement "croisé".
Des croix de sables se regroupaient la bas,elle les repera rapidement,et le Grand maitre semblait mener la danse.

Regard genée vers ses amies

Helas,le temps semble venu de rejoindre le banquet...Et me concernant mes Freres...Ce n'est pas le moment de s'attirer les foudres du nouveau Grand Maitre...

Un sourire se dessina au coin de ses levres,alors qu'elle s'inclinait respectueusement

Nous nous recroiserons sans doute au banquet...Dame Gwen...Dame Pisan...Nous pourrons alors reprendre cette discussion....

Assurée que les deux femmes excusaient sa prise de congé,la Baronne de Villemor tourna les talons,et tenta de se frayer un chemin parmi la foule compacte qui se massait vers les portes,jouant discretement du fourreau a sa ceinture.Elle eut le temps de reperer quelques visages,celui de son homologue guyennois quand elle etait Chambellan,ou encore le Baron qui lui avait donné cette adresse de bottier a Reims,qui depuis recevait des commandes regulieres de sa part.
Marmonnant par moment,pestant interieurement quand on lui tapait dans le pied,malgré les excuses,elle etait sur le point d'attraper un valet maladroit par le collet,les nerfs a bout de patience,quand elle percuta un dos large qui lui barrait la route.

Ses yeux se poserent sur la silhouette qui ne lui faisait pas face,prete a l'houspiller,voire a le provoquer en duel,avant de se poser sur la croix de sable qui couvrait son dos.
Alors qu'il se retournait,sans doute en sentant l"impact,le Maitre d'Arme fit son plus beau sourire au Grand Maitre de l'Hospital,cachant par un art maitrisé de la dissimulation,sa confusion

Grand Maitre...Vous m'attendiez peut etre..?coup d'oeil aux autres membres,sentant ses joues rosir legerement de s'etre fait remarquer par son arrivée soudaine,plus que par sa presence,jusque là Et bien..me voila,mes Freres,nous pouvons allez festoyer....enfin,si le Grand Maitre le souhaite evidemment...

Ses yeux revinrent sur le Vicomte de Nogent le Rotrou,clignant rapidement,le tout appuyé d'un sourire a l'innocence forcée

Timonstre a écrit:

Oui... ce serait une bonne idée... je commence à avoir faim... mais... je me demande s'ils ont du calva???

Quoi ??? Un banquet sans calva ?? Dans un banquet d'un Ordre Royal. Fallait il rappeler que Sa majesté était Levan III de Normandie et qu'oublier le calva aurait été un crime de lèse majesté. Cela semblait tout bonnement impensable pour notre Normand.

Très chère, les Dames Blanches sont des personnes raffinées et leur savoir-vivre est reconnu. J'ose espérer que du Calva nous sera proposé.
Puis avec espièglerie il chuchota à Timonstre.
Au pire, j'ai apporté mes réserves personnelles.

Il se dirigea donc avec ses compatriotes vers la salle du banquet. A son grand étonnement Timonstre était toujours à son bras et d'ailleurs il n'avait guère envie que cela cesse.

Un geste est esquissé à l’attention du chancelier du Poitou. Les a-t-il vus ? Pas le temps de tergiverser qu’un homme les convie à quitter la pièce pour passer dans une autre. Le chancelier ne semble pas les avoir remarqué, la jeune femme toujours au bras de Masacio le tire alors légèrement vers la sortie.

Venez, nous devons sortir, apparemment le banquet va commencer et ce domestique ? -Qu’était-il en fait ? - ne semble pas être un plaisantin. Nous retrouverons votre ami là-bas. A moins que vous vouliez aller le saluer de suite ?

Regard interrogateur à l’attention de Masacio.

Les gens passaient, dans un sens ou dans l'autre semblant se rendre de la salle d'honneur vers ailleurs.
Mal' lui avait indiqué qu'il restait là, et quelque part elle l'en remerciait silencieusement. Elle serait bien resté là, la lieutenante dans ce couloir.

Mais il fallait bien qu'elle retourne vers les autres. Sa décision de repartir était prise quand une voix qu'elle connaissait bien l'interpela.

Zya ? C'est toi ? Que dire ? Demander pardon pour son départ précipité au moment ou son amie prenait sa nouvelle fonction ? Raconter comme à Mal' ce qu'elle ressentait ? Non, rien dire pour le moment serait mieux. Rien dire sinon un :

Tu vois, je t'avais bien dit que ce serait ça d'une voix à moitié mélancolique à moitié triomphante et à moitié moqueuse (oui ça fait trop de moitiés, je sais).

Poursuivre par une question simple : Ils vont où tout ses convives bruyants ? Et toi où vas tu ? Tu ne devrais pas être avec Nanny et jades ? (oui je sais aussi que ça fait 3 questions, c'est bon hein, c'est moi qui raconte)

Aldebbarant avisa l'ensemble des frères autour de lui. Il allait donner le signal avant de se faire bousculer. Il se retourna lentement pour voir une frimousse qu'il connaissait bien et qui lui devait une réponse. Et la voilà qui se met à jouer les espiègles et les innocentes.

Aldebbarant ne put retenir un gloussement.

Et bien oui, justement ma soeur, nous vous attendions. Mais vous savez ce qu'on dit, les femmes aiment se faire désirer.

Puis se retournant vers le groupe.

Bon, on y va, en rang et dans l'ordre et la discipline. On a foiré notre arrivée, on foirera pas notre entrée, foi d'Alde.

Puis il se retourna vers Siva.

Ma soeur, me ferez vous l'honneur, pour votre retour parmi vos frères, de marcher à mes côtés? Et puis peut être ainsi aurais je réponse à la question que je vous avez posée.

La jeune femme écouta de gauche à droite les diverse conversation quand elle entendit le mot banquet, tien étrange Jacou ne bougeait pas ? Le vins lui aurait-il couper l'appétit ? Haussent les épaules la jeune femme se leva doucement et lui prit la main murmurent doucement à son oreille.

Allait courage, tu vas pouvoir mangé je suis sur que le temps passera plus vite ainsi. Dans un petit rire, Titca le tira légèrement vers le banquet c'est fou ce que tout ce monde la fatiguait et toute les conversations mélanger n'était en rien sa migraine à partir.