Chasse au vol du 25/02/1457 - Groupe 5

Il écouta Mac,

Bien, nous partons tous de cet endroit marqué d'un rond rouge. (il ne correspond à "rien", ta première case peut etre A1 comme I1). Pour les déplacements tu peux les faire comme tu veux mais sans dépasser la distance. (pas de diagonale)

Il se rapprocha de nyna et lui tendit la main pour l'aider a se relever.

Dame de Mornant permettez moi de vous aider.

Il lui fit un sourire malicieux.

Noté moi sur un papier l'endroit ou vous souhaitez vous rendre pour les gens qui viendront chercher vos proies. Je vous y accompagnerais avec plaisir si ma compagnie de vous dérange pas.

Val s'etait calmé après son fou rire devant les péripéties de son mari, elle prit donc le chemin, passa prés d'un champs où les semailles commanceaient à pousser tranquillement. Elle mit en application tant bien que mal les conseils de messire geronimo, enleva le cache en cuir de la tete de son busard cendré, tendit le bras et dans un geste ample mit son oiseau en vol ayant la ferme intuition qu'entre les herbes hautes et les arbres il allait bien trouver quelques chose.

En quelques battement d'aile il prend son envol avant de fondre vers le sol. Elle entendit un feulement et un long cri venant de son oiseau. Elle s'approcha doucement le coeur battant, avec méfiance, quand tout d'un coup son oiseau sortit des herbes hautes.

Elle siffla du mieux qu'elle put, un sifflement pas très sur mais effiace car son oiseau revenait vers elle, elle tendit son point ganté et celui-ci vient se poser, son bras flancha légèrement quand l'oiseau atterrit

Elle regarda alors sur le sol et découvrit un chat sauvage, que son busard cendré avait tué en plantant ses serres sur sa tête, l'aveuglant et l'achevant de quelques coups de bec bien placés.

Folle de joie elle eut envie de crier "j'en ai eu un", mais se ravisa de peur d'effrayer son busard cendré.
Elle fit juste un signe de son autre main aux fauconnier afin que l'on vienne constater sa prise puis dit

Cà c'est ce que l'on appelle la chance du débutant

Puis elle chercha du regard son époux afin de voir si il avait eu autant de chance qu'elle ou si il était encore aux prises avec son oiseau

[je suis en H3]

marc_antoine s'était dirigé vers le bois (en c1) avec son rapace enfin revenu sur son bras , l'oeil vif mais le regard rancunier. IL avait l'air de toiser son porteur d'un air dédaigneux.

"m'en voudrait'il de l'avoir appelé par des noms peu amicaux ? Faudrait peut etre que je me fasse pardonner !"
pensa marc, l'air penau devant son volatile
Scrutant le ciel de printemps, il apperçu une volée de palombes qui sans doute devaient rejoindre les terres du nord abandonnées durant l'hiver.

Balançant doucement mais fermement son bras tendu, il essaya cette foi de lancer le faucon vers sa proie.
Celui-ci resta accroché au cuir , refusant obstinement de s'envoler, battant des ailes pour se maintenir en équilibre.

"décidement , j'ai vraiment due te vexer ou tu as besoin de repos apres tes explois de tout à l'heure " dit marc au volatile je vais avancer un peu et peut etre faire partir un coq de bruyere ou perdrix qui te plairont d'avantage
il continua donc tranquillement son chemin vers le verger.

Le départ de la chasse venait d'être donné. Chacun allait se promener avec son oiseau de proie à l'intérieur du périmètre délimité par les organisatrices. L'aigle botté sur le bras, le Seigneur de Baternay avança dans le verger. Son regard allait de gauche à droite cherchant une proie potentielle. Soudain, il voit un chat sauvage entre les arbres. Il s'arrête, retire le capuchon des yeux de l'aigle. Puis, il lance l'animal en direction de la proie comme on lui avait dit de le faire. Génial ça marche ! L'oiseau de son regard perçant repère la proie et fond dessus comme on lui a appris. Malheureusement, le chat tourne la tête dans sa direction et donne des coups de pattes avant pour attraper l'oiseau. Heureusement, l'instinct de survie de l'aigle se réveille et il l'évite au dernier moment d'un battement d'aile. Se sentant malgré tout en danger, le chat profite de l'élan de l'oiseau pour déguerpir et aller se cacher.

MacCornell rappel l'aigle en sifflant. Celui-ci revient se poser sur le bras de son chasseur. Et la ballade continue en espérant que la prochaine fois serait la bonne.

(en C3)

Les concurrents s’étaient tous mis en route, ensemble ou séparément. Nyna avait trainé un peu avant de partir, espérant que le grand fauconnier ne la laisserait pas seule.
Elle était surtout venue pour être avec lui. Il lui manquait tant quand il était loin.

Son faucon crécerelle sur le poing, elle vint vers lui et lui tendit l’autre main.

Tu viens avec moi…

Un sourire, un regard… tout était dit.
Ensemble ils partirent droit devant échangeant mots doux et promesses.
Le soleil lumineux semblait les suivre à chaque pas accompagnant leur marche. La nature calme et apaisante les entourait de partout.
Nyna sentait de plus en plus le poids de l’oiseau sur son point, bien que plutôt petit pour un rapace il finissait par peser.
Alors d’un geste élégant et naturel, elle défit son petit bonnet et l’envoya par les airs, heureuse de le voir décoller.
Dans ses yeux… émerveillement … son regard qui allait de Géro à l’oiseau exprimait le bonheur intense qu’elle avait juste à être là.
Bientôt sur leur passage un bouvreuil, apeuré certainement, prit près d’eux son envol…le pauvre ne put aller bien loin.
Le faucon déjà fondait sur sa proie avec une rapidité surprenante. La bête était maintenant inanimée presque à leur pied comme un cadeau offert par cet as de la chasse qui tournoyait autour d’eux.
Violence d’une vie ravie pour le plaisir d’une femme… un sentiment d’excitation se mélangeant à la tristesse… paradoxe diffus de la chasseuse d’un jour.
Imperceptiblement, la jeune femme se rapprocha du fauconnier. Elle était si près…

Vous pouvez d'ores et déjà m'envoyer vos déplacements pour le second tour.

L'aigle au poignet, MacCornell avança à grande enjambées silencieuses. Il sortit du verger et se retrouva sur un chemin empierré. De l'autre côté du chemin, une grosse bâtisse qui avait été construite en bordure de champ. Elle semblait à l'abandon. Sans doute un vieux grenier à céréales. Il doit surement y avoir des rongeurs dans les environs.

Le Seigneur de Baternay continua à avancer. Il fit le tour du bâtiment. En passant le coin, il aperçut du mouvement. Il s'immobilisa et lança de nouveau l'oiseau de proie. Celui-ci s'envola sans trop de difficultés. Directement, il repéra les friandises. L'oiseau piqua sur la famille de rongeurs qui n'eut pour réflexe qu'une fuite dispersée en direction de leur trou.

Tandis que l'aigle revenait vers le chasseur, un petit rongeur téméraire se risquait à regarder hors de son trou.

De là il put voir le prédateur des siens déposer devant MacCornell le cadavre de son père un peu moins rapide qu'à ses jeunes jours. L'homme pris ensuite la proie et la mis dans sa besace. Il tendit ensuite son bras pour que l'aigle remonte dessus. Il lui remit sa cagoule et continua à marcher pour se retrouver face au champ.

(en C7)

vieux routar qu'il était , il ne quittait pas des yeux la volaille accrochée à son poigné.
il commençait à s'habituer à sa présence , lui caressant doucement le plumage .
ce geste faisant , il pensa à sa douce dulcinée qu'il ferait mieux de s'ocuper un peu plus .
le plumage de l'oiseau luisait au soleil, son coeur battait , comme un soldat pret à bondir, son regard sombre ne traduisait aucunes pensées ..
Marc avançait doucement dans les sous bois , quand un bruit lui réveilla les sens ...