[RP] Le banquet

Nennya répondit rapidement à sa question, L’homme c’était le Vicomte d'Alesme, kali avait raison elle l’avait bien rencontré au mariage de Nennya et d’Alcalnn .Si elle avait la possibilité d’approcher le célibataire, elle lui demanderait des nouvelles de sa sœur .Oui cette Justine qui lui cherchait une femme à marier .Kali un tantinet curieuse chercha l’homme du regard et le vit en compagnie de Rosée et dame Beths la dame venue avec le grand prévôt de France dame Pisan.

Mais bon elle n’était pas venue à la tablée pour parler du vicomte célibataire, elle s’assoit prés de Fildaïs ,sa dernière fillote .La jeune femme fille était arrivé à trouver une table avec d’autres sœurs et kali en était ravi .

la marraien passa sa main autour du cou de la jeune femme ,presque comme un geste maternel

Oui Fildais une très belle soirée, une très bonne et belle organisation .Si tu suis bien l’enseignement à la commanderie et bien un jour toi aussi tu pourras organiser un fête comme celle la

Puis elle salua l’homme que Pherea lui présentait, un sourire, un signe de la tête

Messire Karl soyez le bien venu en notre manoir. Je suis enchantée de cette rencontre


L’orléanaise profita du passage de l’échanson pour prendre un verre de vin .Ses pensées s’envolèrent rapidement vers celui qui lui manquait encore combien de temps allait il errer de part le royaume, la laissant seule.
Les larmes montèrent aux bords de ses yeux, elle se reprit, certainement que Nennya avait du voir ce moment de faiblesse .L’esquire se mit a sourire.

Elle mit son nez dans son assiette ,un raclement de georges ,reprendre peid ,se ressaisir

Hum..hum...Délicieux ce plat, ce vin n’est pas mal non plus

Jades a écrit:

Sindbad!! Je te remercie. C'est un plaisir de te voir. Comment te porte tu?

La Sénéchale semblait ravi de le voir. Voilà qui réconfortait le constantinopolitain

Ma foi, je me porte aussi bien que possible...Si ce n'est que le Bourbonnais-Auvergne est une province où il faut habiter, parce qu'elle se trouve à l'écart du tumulte et de l'agitation, mais point vivre, parce que trop calme. Du coup, je voyage : j'ai donc passé une semaine en Lyonnais-Dauphiné, à sillonner toutes les villes...sauf Embrun, en fait. Puis, après un bref séjour à Montbrisson, j'ai décidé de retourner en Guyenne faire un tour. Et me voilà depuis peu à Bordeaux. Le constantinopolitain fronça les sourcils, et murmura sur le ton de la confidence :Trop de gens, dans cette ville, n'ont plus rien à y faire et devraient la quitter.

Il était temps d’annoncer l’issue de table :

Gaufrettes et beignets de pommes !

Puis Eudes reparti servir les invités de la liqueur délicieuse.

Et Rosée se mit à la présenter successivement au personnes qui étaient avec elle. Tout d'abord sa soeur, le mari de sa soeur. La jeune femme les regarda avec étonnement, elle ne savait pas que Rosée avait des soeurs. Alors que cette dernière, Dame Elli la saluait

Je suis également enchantée de vous connaitre Dame, et je connais Rosée depuis ... euh ... ben ... Et la Dame de Gondole de se tourner vers son amie avant de revenir vers la soeur de cette dernière Longtemps ? On peut dire cela ? En fait, Rosée avait été maréchale à Montpensier, et je la connais depuis ce temps là. J'ai eu plaisir à travailler avec elle. Un sourire franc et sincère apparu sur ses traits. Et puis regardant de nouveau Rosée Par contre je ne savais pas que tu avais une soeur !Ni une cousine ! Et maintenant je comprends mieux pourquoi tu avais exprimé le désir de rejoindre les Dame Blanche. Être avec les siens est important. Un vague trouble put un instant se voir dans le regard de la jeune femme, mais l'instant était fugace, imperceptible. Et la Dame de Gondole reprenait Enfin, je suppose Dame que vous êtes Dame Blanche également ?

Et puis son amie lui présenta ... un Vicomte ... tient, tient, Beths se dit que décidément la jeune Dame de Montmorillon portait merveilleusement bien son nom. Elle se demanda un instant si Rosée éprouvait de tendres sentiments pour l'homme. Hum ... peut être, en tout cas elle était troublée en sa présence, signe annonciateur. En tout cas, cet homme était un charmeur, elle en prit toute la mesure lorsque ce dernier lui prit la main pour la baiser. Curieuse de savoir si le trouble était partagé entre le Vicomte et son amie ...

Je suis enchantée Messire. Ainsi donc vous êtes le cavalier de Rosée ? Je suis convaincue que vous êtes enchanté d'une telle chose, non ?

La thiernoise ne put que porter un regard rieur sur Rosée.

Oui Rosée, tout se passe bien. La Grande Prévôté est chaque jour une sorte de découverte, le travail est énorme, mais passionnant. Et au BA, eh bien ... je dirais ... que c'est l'automne plumal ...

Cette fois ci la jeune femme ne put retenir un grand éclat de rire. C'était un fait connu que son suzerain et elle bataillaient ferme et que parfois, malencontreusement, le bureau du prévôt se trouvait jonché ... de plumes ...

Et donc si j'ai tout compris Rosée, tu voyages beaucoup ? Comment trouves tu les autres Duché et, ou Comté? Les voyages .... et puis la Dame de Gondole se mit alors à rougir ... elle avait donc tant changé ? Et de penser à celui qui en était la cause

Hum ... oui je vois ce que tu veux dire ...

La gêne l'empêche de dire autre chose, la jeune femme détourna le regard qui se posa alors sur, l'objet de ses pensées ! Beths ne pu réprimer un sursaut, il était là ??? Et puis un timide et doux sourire apparurent. Marty était en pleine conversation, elle irait le voir plus tard. La thiernoise tourna alors sa tête vers son amie pour lui sourire

Pherea, trop occupée à dévorer des yeux son fiancé n’entendit pas la demande si discrète de Fifi qui lui chaparda en un instant le dessert entreposé dans son assiette. L’aspirante avait trop mangé et bien trop bu. Ainsi ses sens altérés et son esprit focalisé plus que sur l’homme qui lui avait tant manqué, Pherea, dans sa bulle et insensible à tout ce qui l’entourait, se pencha vers Karl et lui murmura :

Que dirais-tu d’aller prendre un peu l’air ?

Sans plus attendre, elle glissa sa main dans la sienne et assura à Fil, occupée à engouffrer le dessert dérobé :

On revient.

La petite blonde se retourna vers elle, la bouche pleine de gaufrettes et un peu de compote de pomme sur la joue. Pherea lui sourit tendrement, essuya sa joue et sans dire rien de plus, fit comprendre à son amie qu’elle avait besoin de se retrouver un peu avec son fiancé.

Les desserts n’avaient pas tous été avalés mais agacé de voir les hôtes jouer à écraser les beignets du dos de leur cuillère, Eudes décida d’annoncer les boute hors :

Calissons et pâtes de pommes aux épices et hypocras !

Enfin il avait finit de crier au milieu du banquet. Tous les plats avaient été servis, tout c’était bien passé. Il repris une cruche de vin et refit cependant le tour des tables pour s’assurer que les invités ne manquent de rien.